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mercredi 3 avril 2013

Des pensées a Julien Pierre pour sa soutenance de thèse!




J'admire énormément un jeune thésard  car il est brillant, il ne sait pas mais il m'aide beaucoup dans mon parcours d’étudiant en master, je lui suis souvent car il reste très accessible au public. Il est notre camarade, si on peut dire ça, car il est doctorant en Science de l'Information et de la Communication. Je vous présent Julien Pierre, membre du Laboratoire GRESEC depuis septembre 2008, en préparation d'un doctorat en Sciences de l'Information et de la Communication : Pratiques, usages et enjeux sociopolitiques de l'identité numérique. Je l’ai connu par hasard en cherchant des informations sur les sujets qu'on traite aussi sur notre blog liées à l’identité numérique et l'e-réputation.
Egalement, il représente pour nous un exemple d’un jeune chercheur qui a arrivé se promouvoir grâce au moyen moins traditionnel le blog.
Je tiens par ce message à lui envoyer tout notre soutien dans cette dure période qu'est la fin de rédaction de sa thèse et le passage en soutenance, il lui reste 15 jours!
Cette  thèse on l'a aussi un peu vécu parce que il a partagé avec nous des billets concernant sa thèse en publiant sur son blog... et lors de sa soutenance même si physiquement on ne sera pas là, on sera pressent en pensée.
On est sure qu'il en sait au maximum son sujet car c'est lui qui a creusé la question et il a tous les points forts pour impressionner les membres du jury.
  Bon courage Julien Pierre, pour une belle réussite!




lundi 11 mars 2013

De la globalisation à la glocalisation?



« Nous n’appartenons plus qu´à un seul monde.
Nous expérimentons des versions locales du monde et,
en le faisant, nous devons nous localiser
dans le contexte le plus large du global »


Pourquoi utilise-t-on deux termes, celui de « globalisation » et celui de « mondialisation », pour désigner le même phénomène ?
Les différences sémantiques entre les deux vocables, celui de « globalis/z/ation » et celui de « mondialisation », sont au cœur d’un grand débat théorique dans le domaine des sciences humaines et sociales en France où l’on postule que les deux mots ne sont pas synonymes, comme cela est souvent considéré à tort, et qu’il faut opérer obligatoirement une distinction dans leur usage.
Il convient tout d’abord de rappeler qu’il n’existe pas de différence de sens entre ces deux mots lorsqu’ils apparaissent en 1960, ainsi que l’enregistre le Dictionnaire Le Robert. On y trouve que « mondialisation » ou « globalisation » désignent seulement « le fait de devenir mondial, de se répandre dans le monde entier », ce qui paraît une définition très neutre dans la mesure où elle ne possède que des implications spatiales en renvoyant à l’idée d’extension et d’expansion géographiques des phénomènes à une échelle de plus en plus élargie et grande. En revanche, le vocable anglais de « globalisation », a reçu une définition plus concrète dans les années 1980, où la « globalisation » désigne, dans le domaine de l’économie, d’un côté, la convergence des marchés dans le monde entier, et de l’autre côté, l’augmentation et l’accélération des flux de capitaux qui débordent les frontières nationales et échappent au contrôle de l’État. C’est dans ce sens économique et financier de dérégulation, de libéralisation, de déterritorialisation des marchés et des capitaux, incarné dans l’idéologie néolibérale, que le vocable de « globalisation » a été introduit dans le contexte français.

De la globalisation à la glocalisation?
Glocalisation est un néologisme né au Japon, (ce qui est "glocal") est une combinaison de global et de local. C'est un concept alliant les tendances globales aux réalités locales ou  pour l'entreprise-réseau, le terme désigne un mode de gestion à la fois global et local dans le cadre d'une économie mondialisée : l'ajustement de l'offre selon la qualité de la clientèle locale.
Préserver les pays en développement des influences négatives de la mondialisation culturelle est ni possible des points de vue technique et politique, ni souhaitable pour leur croissance.
Ce dont ils ont besoin, c’est d’une formation rapide qui leur permettra d’exploiter au mieux les technologies de l’information.
Il faut que les pays en développement et en voie d’industrialisation puissent faire valoir sur un pied d’égalité leurs points de vue, leurs produits et leurs services sur le marché virtuel.
Leur identité culturelle et sa numérisation sous forme d’informations, de messages et de produits ne constituent pas un obstacle, bien au contraire. Perçu par beaucoup comme une menace, le processus de mondialisation stimulé par les multinationales et leurs marchés est en même temps l’occasion pour chaque entité d’affirmer sa propre identité.
La glocalisation n’en est qu’à ses débuts, et Internet constitue l’un de ses principaux instruments.
Elle peut devenir un pont jeté entre les cultures; et le travail culturel accompli dans le contexte du développement peut et doit créer des conditions favorables à une telle évolution.




Questionnaire d’évaluation après la Journée d'etudes "Les organes auto-construites et le Vieillissement"

En attendant le Congres annuel de la Médecine Génératrice, nous avons soutenu notre client le Laboratoire de recherche en médecine MEDICIS, représentant officiel la revue Medicisrevue, dans l'organisation d'une journée d’étude.
Ce évènement a vise à mobiliser les communautés scientifiques sur les axes prioritaires des membres de plusieurs universités de France et à leur offrir un moment privilégié d’échanges et de rencontres. 

Le journée d’étude a favorise ainsi les collaborations transdisciplinaires susceptibles de déboucher sur des projets de recherche et/ou de formation aux niveaux master et doctorat.
En 2013, c'est la première  journée d’étude que nous avons organisé. Elle a eu lieu vendredi 15 février 2013 à Académie  de Médecine sur le thème "Les organes auto-construites et le Vieillissement".
Nous sommes ravis que nombreux  enseignants-chercheurs, chercheurs, post-doctorants et doctorants se sont impliques et ont répondu immédiatement à notre appel. Pour s'assurer que la journée d’étude a été efficace, si nous avons abouti a organiser un planning moins fatiguant, si les sujets ont été un point d’intérêt important, s'ils ont été bien traités etc nous avons distribuer le questionnaire d’évaluation que vous allez le visualiser  en-dessous.
Nous avons beaucoup de questions a poser aux invites, toutefois nous avons essayer a faire un questionnaire concis et court, qui nous a permis de collecter des réponses utiles. Nous avons opter pour un questionnaire d’évaluation d'une page avec les points plus importants en laissant l'espace nécessaire pour les commentaires.   


Poster scientifique "Reconstruire les organes, est-il réel?"

MediaPubPlus est une agence qui contribue a la promotion de tous les types d'information. De cette maniéré nous manifestons un intérêt particulier pour la recherche. Dans le poster scientifique que vous allez le visualiser en bas, nous avons montre en bref et dans un langage accessible que ça veut dire la reconstruction des organes, quelle est la méthode et plus important quels sont les résultats a présent.
Au tout début, on a commence avec un titre-question pour susciter l'attention sur le sujet et  encourage la discussion.
En effet, nous avons capture l’attention par la structure du poster pour favoriser la lecture. Nous avons essaye de schématiser plus simple possible l'information et également nous avons évite d'utiliser des "gros" termes médicaux militant pour quelques mots clés du lexique médical comme cellule souches etc.
Les petits blocs de texte aide a la compréhension de la problématique et les illustrations mettent en valeur le message principal.
Ainsi nous avons opte pour un ensemble de couleurs et spécifique pour le domaine médecine: le bleu, le blanc, rouge clair etc. en faisant attention au contraste. 



Nous apprécions le succès des entreprises avec qui nous collaborons et nous sommes fières que MediaPubPlus contribuer a leur performance. Ce poster scientifique est dedie a la revue scientifique de médecine MedicisrevuePour tout conseil et question contacter notre agence.

vendredi 8 mars 2013

Recension du livre "Eloge de la crise", auteur Vera Popa


Dans son nouveau livre, « Eloge de la crise », Vera Popa, docteur en science de la  communication et psychanalyste, nous présente une palette irisée de toutes les facettes que revêt le risque, déclinées sur une cinquantaine de chapitres, allant de deux et n’excédant pas les quatorze pages.
Selon ces hypothèses, les nouvelles du monde ne sont pas bonnes.  A bien des égards, la crise n’est pas nécessairement la pire des  situations, moins dramatique en tout cas que la guerre. Certes elle fait peur, mais dans le même temps, elle encourage. Par sa nature, incertaine, elle offre des possibilités, elle ouvre d’autre voies, elle stimule l’intelligence, la créativité  et la volonté.
La réputation se construit, s’enrichit et évolue en permanence en fonction des contenus qui sont créés et partagés. Son travail est base sur l’idée que nous ne pouvons pas contrôler notre réputation, nous nous devons  l’influencer.
Ce n’est pas un hasard si l’e-réputation est en passe de devenir une compétence clé que recherche les entreprises soucieuses de leur avenir. Gérer une réputation requiert non seulement une bonne connaissance de l’internet, une méthodologie mais aussi des outils. C’est sur les deux points que l’auteur insiste dans ce livre en nous mettant à disposition l’ensemble des solutions qui nous aideront dans la gestion de notre réputation.
Ce livre est rythmé par les conseils experts des plus grands spécialistes de ces questions dans toutes leurs dimensions, qu’elles soient juridiques, techniques ou même philosophiques.
Dans le premier tiers du livre, l’ensemble des crises, des risques dont il est question : le risque de ne pas « mourir », celui de la dépendance, de désobéir, d’être en suspens, de la passion… est, en premier lieu, abordé d’un point de vue culturel et social, mais au décours de la lecture de chacun d’eux, on s’aperçoit qu’il s’agit de tout autre chose. En effet, au-delà de ce premier abord, c’est de la notoriété personnelle,  dont il est question.
L’articulation des deux derniers tiers du livre est moins nette. Oscillant entre psychanalyse, philosophie et communication  il y est question de perception, de l’angoisse, du rêve, du rire, de l’écriture ceux qui fait liaison a la réputation.
Un fil conducteur tout au long de ces cinquante chapitres touche le thème de la crise et la façon de croiser et le comportement qu’on doit adopter. Un survol de tout ce que le terme « risque », « crise » peut englober depuis la naissance jusqu’à la mort. Ici elle dédie un chapitre à la naissance de la réputation et jusqu'à quand elle va durer.  Avec ce risque inévitable de disparaitre de la scène  elle fait une analyse qui a comme résultat une  liste des actions à entreprendre pour ne pas subir une fin tragique.
Ce livre vient à l’aide des lecteurs qui cherchent à comprendre quel est l’origine de la crise et comment peut-on aplanir le risque. Egalement, on découvre une touche profonde sur la notion de notoriété, identité numériques, stratégie digitale etc.
Tout au long de son livre ponctué d’exemples qu’exprime l’essentiel de la problématique laquelle elle trait, Vera Popa, par ses extraits de séance, vient aussi interroger sur différents situation de crise.
Ecrit dans un style agréable à lire, accessible et pratique pour ceux qui souhaitent découvrir d’autres pistes a par celles classiques de se faire démarquer.


mercredi 6 mars 2013

Le code de la route WEB!


Quelques règles primordiales:

  1. avancer sans dépasser la  limite de vitesse =  s’affirmer, se faire remarque au fur et à mesure
  2. dépasser en tout sécurité = osez d’être le premier
  3. éviter l'accident = tenir sous contrôle la notoriété 
  4. allumer les feux = être en permanente communication
Quelques signalisations nécessaires a connaitre pour se diriger vers la destination désirée: 
Donc une conduite en toute sécurité présuppose de la vigilance. Il faut toujours anticiper les choses, les apercevoir, les analyser et agir. Je vous propose une schéma qui contient les étapes pour contrôler et actionner dans le cadre du processus de l'e-réputation. 

Les logiciels d’e-réputation permettent aux entreprises d’identifier rapidement tout début de rumeur sur leur société, leurs dirigeants ou leurs marques et d’anticiper le développement de crises médiatiques pouvant affecter leur image, grâce à une surveillance continue et systématique de l’internet et du terrain.
Mais si pourtant arrive le moment quand il émerge un problème, dans e cas on va essayer de comprendre la situation, on va identifier les sources, le coupable et on aperçoit l'impact sur notre notoriété virtuelle. Analyser le contenu c'est un point assez délicat, car il faut éplucher bien les critiques et finalement agir de manière juste. Le droit de réponse nous donne la possibilité de sauver le statut en justifiant et clarifier en détails la situation. 
Gérer le réputation d'une entreprise/marque/personne c'est pas facile mais le monde virtuel met a notre disposition une gamme large d'outils qui permet une veille permanente et la possibilité d'agir immédiatement.

Bonne route WEB! 

Le dessin animé et la publicité



 « Regarder, regarder, jusqu’a ne plus etre soi-meme »  Alvaro Mutis



La publicité, c’est à la fois un « lieu commun »,  une culture commune qui permet de s’amuser ensemble, de partager des images semblables et un réservoir assez prodigieux de clichés plus ou moins explicites, de stéréotypes plus ou moins attendus.
Ensuite on va analyser le rôle de l’image dans la publicité, les images du dessin animé, qui ont un impact évident sur le public ciblé et en particulier, les enfants. En plus on va mettre en évidence les êtres animes dans la publicité destine au public adulte.
Espace de création et d’imagination, la publicité encheante le quotidien par ses histoires, grâce aux personnages réels ou fictifs qu’elle fait vivre. Qu’ils soient humains, animaux ou monstres gentils, ils restent dans notre mémoire, allant parfois jusqu’à voler la vedette aux marques qu’ils représentent. A travers affiches, spots et autres objets, nous remémorons les aventures et l’évolution des mascottes et les héros qui nous ont amuses ou émus, tout en découvrant les ressorts de la publicité[1].
Les images changent les textes donc, mais les textes, a leur tour, changent  les images. Ce que nous lisons ou entendons à propos des images, la façon dont la littérature  la presse, la signalisation se les approprient, les triturent et les présentent, détermine nécessairement l’approche que nous en avons ensuite.
Nous vivons dans une civilisation de l’image et nous voyons d’images plus nous risquerions d’etre abuses, alors que nous ne sommes pourtant qu’à l’aube d’une génération d’images virtuelles, ces nouvelles images qui nous proposent des mondes illusoires et néanmoins perceptibles. L’utilisation des images se généralise.  En effet, de façon de plus en plus rapide et que nous les regardions ou que nous les fabriquions, nous sommes quotidiennement amenés à les utiliser, à les décrypter  à les interpréter  Une des raisons pour laquelle elles peuvent alors paraître menaçantes est que nous sommes au sein d’un curieux paradoxe : d’un côté nous lisons les images d’une manière qui nous semble tout à fait « naturelle » qui ne demande apparemment aucune apprentissage et d’autre part, il nous semble que nous subissons de facon plus inconsciente que consciente le savoir-faire de quelques inities qui peuvent nous « manipuler » en nous submergeant d’images secrètement codées se jouant de notre naïveté.
Les êtres animes dans la publicité représente un succès parce qu’ils ont les rôles de susciter une émotion esthétique, d’exprimer la sensibilité, de faire communiquer le spectateur avec les sentiments du personnage et le plus important de saisir un détail pour lui accorder une valeur symbolique ou fantastique.
Les spécialistes ont commencé mélanger le dessin animé et l'image photographique, pour obtenir un effet plus évident au public. Les créatures sont totalement expressives, ne serait-ce que parce que cette expressivité passe par une série de traits fixes constamment utilisés qui caractérisent précisément l'animation. Leur visage et leur corps sont néanmoins confinés à quelques attitudes typées et limitées. Ce trait peut les distinguer des stars qui parce qu'elles sont des créatures photographiques peuvent, comme chacun de nous, être inexpressives.
Le dessin animé raconte une histoire avec un traitement de l'image particulier. Les caractéristiques formelles du dessin interviennent d'une part pour que le petit personnage stylisé soit à la portée du niveau de compréhension pour tous. S'agissant de dessins, le simulacre semble évident comme l'usage du masque dans la cérémonie du chaman ou dans la commedia dell'arte[2].
Les caractéristiques formelles sont donc marquées par le graphisme qui, en soi, distancie la notion de réalité : c'est du dessin animé, ce n'est donc pas du vrai. Comme les marionnettes qui caricaturent les personnages, les signifiants formels du dessin animé sont en effet suffisamment présents pour maintenir, tout au long du spectacle, une démarcation entre réalité et imaginaire. Les personnages du dessin animé sont caricaturaux, et en cela ils sont facilement reconnaissables par les téléspectateurs.
D'ailleurs, les personnages héroïques, les ballades merveilleuses, les récits illustrant les peurs enfantines et les rêves de « beau » sont devenus des images numériques. D’écran en écran,  les  enfants  du  3ème    millénaire traversent  les  étapes  de  la  vie  et  grandissent  à  la luminescence de la TV, des DVD et autres supports d’images électroniques.
Une  chose  est  sûre,  l’enfant  de  1  à  3  ans développe  face  aux  écrans  des  activités  mentales  spécifiques,  car  ces  images  animées sollicitent plusieurs canaux sensoriels en même temps, tout en permettant la  mise  en   œuvre  d’aptitudes  cognitives  spécifiques :  traitement  d’informations  variées, mémorisation, créativité et imagination.
A présent,  entre les nouvelles séries et les anciens mais toujours modernes héros, les enfants comme les parents sont fortement sollicités. Dès le plus jeune âge, le héros  devient  le  compagnon  des  enfants  dans  leur  vie  quotidienne  (alimentation, habillement, fournitures scolaires), mais également le confident, partenaire de jeux voire objet transitionnel. Le personnage devient donc un outil indispensable pour les marques.



Les enfants adorent  cette peluche géante  si sereine et affectueuse avec sa bonne grosse voix et qui leur est si dévouée. Le lapin fait vivre des aventures grâce à son air gentil, look cool, sportif, courage et plein de vie. L’attachement de cette mascotte a augmenté et jusqu’à aujourd’hui il a beaucoup de fans.          






La marque de chocolat Milka a concentré une de ses campagnes de publicités sur les détectives des alpages, dont une marmotte habillée en Sherlock Holmes, qui cherchent des cachettes pour les lapins de Pâques. Encore une manifestation de la notoriété du détective et de ses clichés... La vache mauve est connue par la pointe d'humour, le plaisir du chocolat sous toutes ses formes.
La publicité essaye d’adapter le monde des animaux fabuleux, des sorcières et des princesses, bref dans un monde de conte de fées pour conquérir le public et, surtout, l’enfant et ses parents. On peut remarquer que de nombreux contes traditionnels ont été adaptés sous la forme de dessins animés et après utilises en publicité. Un exemple  éloquent c’est la publicité McDonald qui utilise le mythe d'Hercule:

Hercule représente une force physique le conduit à casser, à faire des bêtises. Comme il n'est pas suffisamment mature pour confronter les conséquences de ses actes c'est pourquoi l’enfant s'identifie facilement à Hercule. Même si ce héro a d'une force physique exceptionnelle, il a la faiblesse et la naïveté d'un enfant.
Un autre exemple c’est le Prince de LU, s’habille en rouge (couleur de l’energie du biscuit riche en céréale), cape bleue (couleur de la fidélité, de la noblesse) et couronne d’or (l’excellence de la marque). Il symbolise merveilleusement les valeurs du produit, il emmène les enfants dans un univers de fiction, leur promettant mettre en poche de valeureuses aventures.

Les enfants ne croient pas à l’existence des héros, ils considèrent néanmoins que ces personnages de fiction aux pouvoirs extraordinaires sont d’abord des adultes qui possèdent de grandes qualités énumérées par ordre d’importance : le courage, la force, le dévouement, l’esprit combatif, l’intelligence, la gentillesse…  des  valeurs  positives  dans  lesquelles  les  enfants  se  reconnaissent  et  qui participent à leur construction psychique.
C’est pourquoi, par effet d’identification et parce qu’ils sont très réceptifs à ce que font les adultes,  ils  vont  imiter  ces  modèles  héroïques,  qui  sont  autant  de  références  dans  leur apprentissage social, et se construire autour de ces valeurs.
Il est bien évident qu’il existe la violence dans le dessin animé et puis elle est employée dans la publicité, parce que l’enfant aime le personnage. Ensuite on remarque comment les nouvelles technologies peuvent changer les héros en ajoutant un degré de violence, malice etc.
Et l'image peut-être parfois même traumatique lorsqu'elle provoque en lui des émotions. Enfin, certains enfants peuvent « êtres tentés de transposer dans le quotidien les modèles de comportements qui les ont soulagés pendant un moment, et donc de passer à l'acte.
Quand la violence des images permet de nouer le fil d'angoisse sans visage. Ils confondent ces images avec la réalité comme on le croit parfois - ils savent aussi bien comme les adultes que c'est du cinéma. Mais à cause des images qu'ils voient, au lieu de leur permettre de prendre plus de distance vis-à-vis de leurs images intérieures comme chez l'adulte, réduisent au contraire leur pouvoir de contrôler celles-ci. Ce qui les terrifie, c'est leurs images du dedans à un moment où ils cherchaient au contraire à les enfouir au plus profond pour établir d'autres formes de relation avec le monde.
Nous envisageons maintenant le rôle joué par la capacité de chaque spectateur à pouvoir «contenir » et « transformer » mentalement l'impact des images sur lui. Les émotions éprouvées par le spectateur des images sont en effet exactement semblables à celle qu'il éprouve dans la vie réelle, comme l'angoisse, la peur, la colère, le dégoût, la rage, la gêne ou la séduction.  
Le problème est que la manière dont il est appelé à gérer ces émotions est bien différente selon qu'il les éprouve dans des situations de la vie réelle ou face à des images ! Éprouvées dans des situations de la vie réelle, ces émotions sont mobilisées au service d'actions destinées à y répondre. Au contraire, éprouvées face à des spectacles de fiction, elles n'appellent rien d'autre de la part de leurs spectateurs que de les domestiquer de manière à les faire servie à leur seul plaisir.
L'enfant  confronté à des images qui suscitent en lui des charges émotionnelles intenses n'est pas tout à fait dans une situation de jeu, puisqu'il ne contrôle pas la situation, mais il n'est pas non plus tout à fait dans une situation de la vie réelle. Il fait bien cette distinction et n'est pas menacé, comme on le croit parfois, de confondre les images qu'il voit avec la « réalité ». En revanche, la compréhension qu'il a de cette distinction ne lui permet pas de transformer automatiquement les émotions qu'il éprouve en source de plaisir. Toute excitation intense qui menace d'envahir et de déborder la personnalité est en effet perçue comme une menace, et l'enfant doit donc apprendre d'abord à la circonscrire et à la maîtriser, à la « contenir ».
D’autre côté le dessin est utilisé en publicité destiné au public adulte,  il y a l’illustration, la caricature, le dessin d’actualite etc.


La dernière publicité produite par Adidas à la gloire du nouveau ballon d'or Lionel Messi. Il s'agit d'un dessin animé qui raconte toute l'histoire du joueur argentin.
Les petits personnages ont devenu célébrés et le publicité est apprécié de cible. Les fantasmes que nourrissent les dessins animés sont les mêmes que ceux qui animent la vie psychique du public.
Les dessins animés dans la publicité je les trouve adéquate s’ils ne sont pas exagère et s’ils contiennent une dose de culture. C’est un bon moyen de provoquer le sourie du public mais c’est un risque pour le petit spectateur, c’est pourquoi il faut prévoir les conséquence et maintenir un équilibre entre les images publicitaires et le cible.
La publicité nous fait évoluer dans un monde sublime qui obéit aux lois du rêve : la décohérence et la collusion. Une pêche et un abricot se marient (Oasis) ? Il existe la vache mauve (Milka) ? Mais grâce à dessin anime tout est possible.
Dans une société en mouvement, ou tout est instable, l’image d’un  rôle de parler à notre émotion, ils comblent nos attentes et nos manques.




[1] Michele Jouve, Heros de pub : Quand les marques s’inventent un visage, Edition Chronique, 2009
[2] Claude Allard, "L'enfant au siècle des images", édition Albin Michel 2000 p.84